Groupe PARERA

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Le Groupe PARERA très solide sur sa « vague porteuse »

A lire sur : https://www.nrpyrenees.fr/2020/09/24/le-groupe-parera-tres-solide-sur-sa-vague-porteuse-9092279.php https://www.petitbleu.fr/2020/09/24/le-groupe-parera-tres-solide-sur-sa-vague-porteuse-9092919.php Après avoir fait le dos rond durant la crise sanitaire, l’entreprise de Jacques Cettolo qui a triplé son chiffre d’affaires ces 5 dernières années en se diversifiant et en se positionnant à l’international tout en étoffant ses effectifs (plus de 650 salariés), envisage l’avenir « avec prudence mais confiance »… Le Groupe PARERA n’est pas sorti indemne des deux mois de confinement ce printemps. « Cet arrêt brutal et long de nos activités nous coûte 5,6 millions d’€ de chiffre d’affaires » indique Jacques Cettolo, le PDG de cette très dynamique et innovante entreprise dont le développement tient de la success story. Songez qu’à sa création en 1968 à Gimont, elle employait 3 salariés… Ils sont plus de 650 aujourd’hui dont plus de 500 en France. Et parmi eux, plus de 400 qui durant le confinement ont été contraints au chômage partiel alors que les autres, dessinateurs ou personnels des fonction support notamment, travaillaient chez eux. « A l’arrivée notre marge a été négative d’un million d’€ « ajoute Jacques Cettolo. Accord de performance collectif Pour amortir cette très conséquente perte financière, un « accord historique » a été conclu avec le CSE (comité social et économique) de l’entreprise autour d’un accord de performance collectif, explique aussi le PDG. « Du 1er juillet au 31 décembre, nous travaillerons 39 heures hebdomadaires payées 37 heures, ce qui va nous permettre de tasser un peu les frais généraux ». Alors que la tranche de 35 à 37 heures est rémunérée au taux horaire habituel, les contreparties financières ou équivalentes en repos des heures effectuées de 37 à 39 heures sont reportées au début 2021. Ni les augmentations ni les primes ne sont gelées mais elles sont conditionnées à la reprise de l’activité. Par précaution aussi, Jacques Cettolo a demandé et obtenu un prêt garanti pour 15 % du chiffre d’affaires soit 5,5 millions d’€. « Nous le rembourserons au bout d’un an ». Selon l’entrepreneur lislois pour qui « le dispositif d’aide de l’Etat a bien fonctionné », il convient d’envisager l’avenir « avec prudence mais confiance aussi ». Notamment car « à contrario de l’aéronautique par exemple, nous sommes toujours sur une vague porteuse. Tous les opérateurs de réseaux qui nous font confiance (Total, Enedis, Orange, GRDF, SNCF, Air Liquide, Grand Paris etc) doivent continuer à investir pour assurer un service de qualité. Les investissements sont importants pour la qualité de service de nos infrastructures, pour limiter les incidents sur les réseaux, pour éviter les coupures aux abonnés et pour continuer de moderniser les réseaux existants ». Chiffre d’affaires triplé en 4 ans C’est autour des métiers de la cartographie, du dessin assisté par ordinateur (DAO) et des systèmes d’information géographique (SIG) pour les principaux gestionnaires de réseaux et des collectivités qu’Antoine Parera a développé son activité à partir de 1968. 50 ans plus tard, le Groupe PARERA (détection réseaux, maîtrise d’œuvre fibre optique, gestion du patrimoine bâtiment, relevés 3D lidar, cartographie topographie SIG, fiabilisation contrôles) basé à l’Isle-Jourdain depuis 2004, est constitué de 7 sociétés (lire par ailleurs). Patron depuis 2015 de l’entreprise qu’il connaît parfaitement pour y avoir exercé des responsabilités depuis 1995, Jacques Cettolo, ingénieur de formation, lui a impulsé une dynamique nouvelle. En atteste notamment le triplement du chiffre d’affaires (33 millions d’€ en 2019) enregistré au terme des quatre dernières années. La politique de diversification de l’activité et, sur la cartographie, le choix de ne plus se cantonner au seul amont de la chaîne de valeur de la gestion des réseaux mais d’en étendre le champ vers l’aval et l’international, portent leurs fruits. La création de filiales spécialisées (PARERA Services, PARERA Formation, etc…) et diverses acquisitions stratégiques dont ILS à Madagascar en 2016, Géotech à Garches et Scide à Troyes en 2017 se révèlent toutes aussi positives pour le Groupe PARERA, présent partout sur l’hexagone mais aussi dans les DOM (Guadeloupe, Martinique, Réunion, Guyane) ainsi qu’à Madagascar et en Côte d’Ivoire où il opère pour Stel-Ci, la société nationale d’électricité et de télécoms.

Le GROUPE PARERA RENFORCE SES LIENS AVEC LE STADE Toulousain

Lien vers l’article sur le Stade Toulousain Le Stade Toulousain a l’honneur de renforcer ses liens avec la société Groupe Parera, leader français de la cartographie, en signant avec celle-ci un contrat de Partenaire Officiel jusqu’en juin 2021. La signature officielle du contrat a eu lieu en présence de Didier Lacroix, Président du Stade Toulousain et de Jacques Cettolo, Président du Groupe Parera. Il prévoit notamment la visibilité de la marque sur la face arrière du maillot (dos bas) pour tous les matchs de Champions Cup et une sélection de matchs en Top 14.  « Le Stade Toulousain s’enorgueillit de pouvoir reconduire aujourd’hui sa collaboration privilégiée avec le GROUPE PARERA, leader français dans le domaine de la cartographie. Ce renouvellement traduit la confiance mutuelle entre notre club et son partenaire, d’une fidélité exemplaire en cette période. Nous sommes fiers de continuer d’écrire cette belle histoire entamée en 2018 et née sur un succès, grâce à un titre de Champion de France conquis dès la première année. La collaboration entre les deux entités témoigne de la volonté de s’inscrire dans une direction commune, guidée par des valeurs d’ambition et d’excellence », commente Didier Lacroix, Président du Directoire du Stade Toulousain.  « C’est une fierté pour notre groupe d’afficher notre nom sur le bas du maillot du Stade Toulousain. Un remerciement à Didier LACROIX et à son équipe pour le très bon travail accompli ce qui a permis au Stade Toulousain de revenir dans les meilleures équipes françaises et européennes. Nous sommes heureux de participer à cette belle aventure », conclue Jacques Cettolo, Président du Groupe Parera. A propos du Groupe PARERA :Groupe autonome, leader français de la cartographie technique à destination des opérateurs de réseaux (Enedis, Orange, GRDF, RTE, GRT Gaz, etc.) et des collectivités. Fort de 650 personnes et présent à l’international, le Groupe envisage une cartographie unique en 3 dimensions.Nos valeurs : Esprit d’Equipe, Audace et Innovation

INTERTAS PARLE DE TRENCH3D

Le portail des Travaux Publics et des Réseaux, INTERTAS.FR, met en avant la solution Trench3D, développée et proposée par le Groupe PARERA. Pour en savoir plus sur notre innovation, consultez le site internet dédié à notre solution : www.trench3d.com

LEADER EUROPÉEN – Le Groupe Parera ne perd pas le nord

PressLib a réalisé un article sur le Groupe PARERA, le 5 juin 2020, vous pouvez le retrouver sur leur site ou le lire ci-dessous. Les derniers mois n’ont pas été simples pour le champion gersois de la cartographie des réseaux. Mais l’emploi n’est pas menacé et ses projets d’investissement sont maintenus… Avec 400 salariés au chômage partiel et 5,6 millions d’euros de manque à gagner en deux mois, Parera n’a pas vraiment connu un printemps idyllique. Mais l’entreprise de L’Isle-Jourdain garde le cap et reste à l’affût d’opportunités de croissance externe. Depuis sa création en 1968 par Antoine Parera, l’entreprise du même nom, experte en cartographie et en relevés 3D de réseaux de toutes natures (gaz, électricité, télécoms, etc.), a fait un sacré bout de chemin. Et ces dernières années, elle a même eu tendance à accélérer le mouvement. Après être passé entre les mains de plusieurs sociétés d’horizons divers, le groupe de L’Isle-Jourdain a finalement été repris en 2015 par Jacques Cettolo (déjà dans la maison depuis 2004), sous l’impulsion duquel le chiffre d’affaires a doublé en seulement 4 ans, atteignant 33 millions d’euros l’an dernier. Aujourd’hui, l’entreprise compte 650 salariés, dont 500 en France, et travaille pour des grands comptes comme Total, SNCF, Orange ou Engie. Ses bons résultats sont le fruit de l’habile politique de diversification de l’activité menée depuis 5 ans. Positionnée depuis un demi-siècle sur la cartographie, en amont de la chaîne de valeur de la gestion des réseaux, elle a récemment a su étendre son champ d’action vers l’aval et à l’international, d’une part en créant des filiales spécialisées comme Parera Services (installation et maintenance) ou Parera Formation/Conseil, et d’autre part à travers des acquisitions stratégiques comme celles d’ILS à Madagascar en 2016, puis de Géotech (systèmes d’information géographiques et techniques) à Garches et de Scide (topographie et ingénierie des infrastructures) à Troyes en 2017. Depuis 2018, l’entreprise est également établie à Abidjan, où elle opère pour Setel-Ci, la société d’électricité et des télécoms de Côte d’Ivoire. Reprise timide mais pas de menace à court terme… Ces deux derniers mois, l’entreprise a été fortement perturbée par la crise sanitaire et le confinement, avec 400 de ces 500 salariés français placés en chômage partiel et 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires perdu par rapport à l’an dernier. Les autres salariés, dessinateurs ou personnel des fonctions support, ont travaillé de chez eux. Tout le monde a pu être payé à 100%. « À l’arrivée, notre marge est négative d’un million d’euros sur deux mois », précise Jacques Cettolo. « Depuis le 11 mai, la reprise est assez timide, et beaucoup de nos interlocuteurs sont encore en télétravail côté client. Les mois de mai ne sont jamais très bons pour nous, mais celui-ci a été catastrophique », ajoute-t-il. En outre, une vingtaine de salariés de Parera n’ont pas pu reprendre et sont encore au chômage partiel, essentiellement pour des raisons pratiques (garde d’enfants, etc.). On notera qu’un accord « historique » a été conclu avec le CSE de l’entreprise autour d’un contrat de performance : « Nous allons passer à 39 heures de travail hebdomadaire, payées 37, du 1er juillet au 31 décembre. Cela devrait nous permettre de tasser un peu les frais généraux », commente le dirigeant. Un sacrifice consenti par des salariés d’autant plus engagés qu’ils bénéficient d’un plan d’intéressement, dispositif dont on peut ainsi mesurer l’utilité en pareilles circonstances. Outre ces mesures énergiques, l’entreprise a obtenu un prêt garanti pour 15% de son chiffre d’affaires, soit 5,5 millions d’euros. « Nous devrions pouvoir le rembourser au bout d’un an », précise Jacques Cettolo, qui souligne que le dispositif d’aides de l’État a bien fonctionné, mais qui espère maintenant que le déconfinement va s’accélérer pour que ses derniers salariés bloqués puissent reprendre le travail. Le dirigeant reste au final prudent, mais relativement confiant : « Les opérateurs réseau comme Orange ou Enedis continueront d’investir. Sur 2020, leurs budgets seront sans doute maintenus. Il faudra voir si ceux-ci diminuent ou non l’an prochain, mais les acteurs du secteur ne peuvent évidemment pas se permettre d’arrêter d’investir dans leurs réseaux », expose-t-il. Les investissements et la stratégie maintenus… Le groupe Parera lui-même ne remettra pas en question ses projets d’investissement en matériel et en R&D. Il reste également ouvert aux opportunités de croissance externe. Seul le réaménagement de son plateau de L’Isle-Jourdain, au départ prévu cette année, sera reporté en 2021, si tout va bien. Au final, on peut donc dire que l’entreprise a plutôt bien limité la casse. Pour finir, on peut ajouter deux mots de la situation à Madagascar, où Parera compte 100 salariés, une vingtaine opérant dans l’ingénierie en lien avec le territoire et l’océan indien, et les autres pour les opérations de numérisation des données du groupe en général. « Ce travail déporté nous permet de rester compétitifs, alors que dans notre secteur, la part du travail de terrain tend à diminuer grâce aux nouveaux outils de scan, tandis que celle de l’exploitation des données et du travail de bureau a tendance à croître », détaille Jacques Cettolo. L’île africaine, jusqu’ici peu touchée par le coronavirus, a cependant organisé un confinement, mais sans l’équivalent des aides mises en place en France. Localement, Parera a intégralement payé ses salariés, qui bénéficient d’un système social avec cotisations retraite et prestations médicales. C’est donc encore une belle entreprise d’ici, leader dans son domaine, qui semble avoir tenu le choc ces dernières semaines. Après plus d’un demi-siècle d’existence, Parera garde toujours le cap, et on espère bien que ça va durer.